Dans quelques jours, nous aurons à choisir quel est celui à qui nous accorderons notre confiance en l’élisant comme syndic pour la prochaine législature. Il s’agit d’un choix crucial pour notre avenir. Il est ainsi primordial de savoir sur quels critères nous allons juger les capacités des deux candidats afin de déterminer lequel sera le plus à même de défendre les intérêts de notre Commune.
Chose certaine, ceux-ci sont extrêmement motivés à occuper cette fonction de syndic pour laquelle ils sont prêts à s’investir pleinement. Chacun a indéniablement de nombreuses qualités, démontrées dans leur fonction respective au sein de la municipalité actuelle.
Lors de l’élection à la municipalité, les candidats ont mis en avant les raisons et buts qu’ils désiraient promouvoir et si possible atteindre, en occupant une place au sein de l’exécutif communal. Cependant, les critères ayant prévalu à ce moment-là ne sont plus les mêmes pour la syndicature. La fonction de syndic ne signifie pas seulement être le chef du Conseil exécutif. Son rôle principal est celui d’un responsable qui doit assumer pleinement et défendre en tout temps, au nom de la municipalité, des décisions qui ne résultent pas forcément de sa propre volonté. Il est également la courroie de transmission d’informations ou de décisions qui lui sont imposées par des instances supérieures ainsi que par le Conseil communal.
Il est dès lors indéniable que pour être syndic d’une commune, il faut être charismatique, volontariste, persuasif, écouté et pas seulement entendu par ses différents interlocuteurs, ceci dans tous les domaines. Forcément, ces traits de caractère provoquent parfois des inimitiés, liées principalement à la fonction. Ils sont cependant nécessaires pour occuper celle-ci, ce que Stives Morand a parfaitement démontré durant cette législature. C’est donc sur ces critères objectifs et constatés au quotidien que, le
25 avril, je voterai Stives Morand à la syndicature et vous demande d’en faire de même.
Raymond Lavanchy